Ils en parlent

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Denis Salas : Le détour par la fiction (…) opère un écart qui nous décentre. Il nous plonge dans le puits d’une matière vivante. Mais il faut pour cela une expérience transmuée dans un récit composé de personnages qui vont au bout de leur destin (…) Un premier roman bien charpenté qui suit une ligne narrative claire et ne lâche pas le lecteur (…). Au total, le Choix de Bilal est un roman très convaincant parce qu’il enrichit de son regard notre rapport au monde (Cah. Justice 2019/2 p. 381).

Marie Thérèse Abbenanti (Magresse d’Ambérieu en Bugey) : La cité décrite par l’auteure va à l’encontre de certains préjugés. En effet, il y règne une solidarité, une entraide, il s’y noue des amitiés entre les résidents et ce malgré l’ambiance délétère et les multiples tentations de la petite délinquance. C’est un livre très réaliste, émaillé de scènes de confrontation entre les représentants de la justice et son héros (…). Une fois engagé dans l’existence de Bilal, le lecteur ne lâche plus l’intrigue qui réserve un suspense jusqu’à la dernière ligne.

Benoit : J’aime beaucoup le sujet choral, même si on se fixe sur Bilal, tous les personnages secondaires ont une évolution particulière.

Laurence : J’en ai aimé l’écriture fluide et la grande douceur qui en émane et rend attachants tous les personnages. Merci pour ce regard juste, de justesse et de justice.

Annie Muse : Bilal déambule dans une société de consommation devenue une société de frustration (…) Dans Le Choix de Bilal, roman humaniste dépourvu de manichéisme où se côtoient policiers, délinquants et habitants des banlieues, A. S. Lamarzelle brosse, à traits précis, le portrait de personnages complexes et attachants (…) A. S. Lamarzelle, dans ce premier roman, embarque le lecteur dans une histoire émouvante dotée d’une intrigue solidement construite où se mêle aussi le suspense. Cette plongée au coeur de la cité est une excellente façon de susciter la réflexion du lecteur, de lutter contre les représentations et les préjugés.

Agnès Karinthi : Je me suis régalée à le découvrir. C’est une belle histoire, un témoignage, un rappel des règles de la justice française, souvent méconnues de nos lecteurs, tant l’américaine a pris de la place dans notre culture générale (…) Le choix de Bilal est un roman inclassable. Polar, oui ou non ? (…) A.S. Lamarzelle a surtout placé son histoire sous l’angle de la société. A travers Bilal, Sofiane, Greg, Joël et les autres, elle raconte la cité de l’intérieur. Les règles qui la régissent, qu’aucune police ne saisira jamais vraiment.

Bertrand : Ce livre est superbe, il n’est pas plaisant ou agréable, il est simplement pertinent, puissant et captivant. La question de la justice est chose sensible pour moi et je dois admettre que le sujet est ici traité avec équilibre et justesse.

Eve : De vos personnages, j’ai aimé l’humanité dans la complexité.

Edmond : Ce livre est bien construit, le découpage est cinématographique et on a envie de tourner les pages.

Geneviève : J’ai beaucoup aimé cette histoire qui nous plonge dans l’étude et l’évolution du personnage. Bien écrit et bien documenté ! En tout cas bravo, c’était passionnant !

Régine : C’est toute la personnalité de Bilal qui va nous interpeller et nous redonner foi en la vie et en notre capacité à nous réparer. Bravo pour cette performance rédigée avec précision. Dès les premières pages, on est en immersion et presque pris au piège comme Bilal, à la fois heureux et malheureux de vivre dans ce quartier. J’ai beaucoup aimé, et chapeau bas aussi pour le titre.

Une réponse sur “Ils en parlent”

  1. Livre d’une écrivaine que j’ai découverte à l’occasion du salon du livre de La Chapelle de Guinchay au mois de mai dernier, « LE CHOIX DE BILAL » appartient à cette catégorie de romans qui réussissent à maintenir une tension, de la première à la dernière page. Et pourtant, assez vite après un braquage réussi – façon de parler puisqu’il cause tout de même la mort d’une personne ! -, la situation semble figée : la police patine, Bilal et ses complices s’accordent pour se tenir à carreau et le butin est en lieu sûr. Mais entre les équilibres fragiles de la Cité où il vit depuis toujours et la complexité des rapports humains, il suffira d’un grain de sable pour fissurer l’édifice apparemment sans faille imaginé par Bilal.
    Sur son site, A.S. Lamarzelle note : « La vérité qui émane des œuvres littéraires me paraît souvent plus juste que la réalité elle-même. » Tout à fait d’accord. Et « LE CHOIX DE BILAL » en est une parfaite illustration. Je recommande.

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